Il est 4h du matin quand le réveil sonne... En s'étant couchés à minuit, forcément, nous ne sommes pas très frais !
Une fois les valises définitivement bouclées, nous voilà en route pour l'aéroport avec mon père qui s'est gentillement levé pour nous y emmener.
Le décollage est prévu pour 7h20, l'embarquement est à 6h50 dernier carat. Nous y sommes une heure avant environ. Avant l'embarquement, nous faisons emballer nos valises d'un joli film plastique semi-rigide rose bonbon, histoire de les protéger des délicates mains de l'embarquement...
Puis nous passons le premier contrôle d'identité où nous déposons nos bagages soutes, puis le second qui nous fait vider nos poches et nos bagages cabines. Puis nous passons au détecteur de métaux... et nous voilà en salle d'embarquement. L'attente est assez rapide et nous nous retrouvons donc vite dans l'A320 vers Paris.
Le décollage et l'atterrissage se font sans problèmes, et le voyage d'1h20 ne se fait pas ressentir. Arrivés sur Paris, nous commençons par essayer de repérer notre porte d'embarquement. Evidemment, nous partons d'abord dans la mauvaise direction !
Une fois réorientés, nous prenons un bus qui nous amène au second termimnal dans lequel notre porte d'embarquement se trouve. En fait, c'est la même qu'en novembre, mais nous n'avions pas fait le rapprochement !
Nous nous retrouvons donc en zone interportale, où les magasins en DutyFree fleurissent. Nous prenons quelques magasines de presse, et nous dirigeons vers le Starbuck Coffee pour nous faire une petite collation de 10h. Nous en profitons pour prévenir nos familles de notre atterrissage réussi dans la capitale.
Enfin nous nous rendons à notre salle d'embarquement pour y patienter les 2h30 restantes. Emilie en profite pour lire et corriger les articles du voyage de Noce qui ne sont pas encore postés, et moi je me repose. A 12h, nous cassons la croute de sandwich que nous avions préparés. Cette fois, nous n'avons pas fait comme en novembre en étant obligés d'acheter des sandwichs à 20€ l'unité (j'exagère bien sur... quoique...).
L'heure de l'embarquement arrive elle aussi relativement rapidement. Cette fois, c'est un Boeing 777-200 qui nous amènera vers Osaka. La place pour les pieds au niveau des sièges est plus petite, de même que la largeur des sièges, et celle des écrans... Bref, c'est quand même l'A380 qui est le plus confortable !
Et c'est donc dans l'avion que se termine cette journée !
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